Samedi après-midi, pour digérer d’un copieux repas au Régional, rien de tel qu’une montée à la Bastille !

Pas très original, me direz vous, et pourtant… Je suis monté comme je n’étais jamais monté, et je suis descendu comme je n’étais jamais descendu 🙂

Pour la monté, nous avons attaqué par la Porte de France. Je n’étais jamais monté par ce versant. Le début de l’ascension se fait dans un petit parc aménagé (les jardins des Dauphins), le temps d’arriver en haut de l’impressionnante falaise de la Porte de France. Le chemin est ensuite entrecoupés d’escaliers, pour franchir les premiers niveaux de remparts, juste avant le fort du Rabot.

Après le fort, le chemin devient plus escarpé et monte en lacets jusqu’aux casemates et au dernier rempart avant le sommet. Une fois ces dernières fortifications franchies, le chemin rejoint les larges lacets qui montent depuis la porte Saint-Laurent, jusqu’au sommet. La vue est malheureusement complètement bouchée, la météo n’est pas avec nous ces jours çi 🙁

Pour la descente, j’ai opté pour les escaliers qui descendent jusqu’à la porte Saint-Laurent, en souvenir des trois « bastillomètres » de ma vie étudiante. Je n’étais jamais descendu par les escaliers, mais maintenant je comprends mieux pourquoi : les marches sont très désagréables à descendre, en particulier la plus longue des rampes, constituée d’une bonne centaine de marches en ligne droite, dont pas deux qui soient parallèles entre elles…

1244 marches plus bas, me revoilà en ville, au moment ou le ciel commence à se déboucher, révélant enfin les hauteurs de Belledonne. M’enfin bon, j’sais pas pourquoi, mais j’ai pas trop envie de remonter pour les photographier…