Nice, premier jour

Petit résumé de la première étape du voyage à Nice.

Départ 18h de Grenoble, pour un voyage riche en événements, les éléments ayant visiblement décidé de se rebeller contre nous…

Tout d’abord, les classiques bouchons dans la périphérie Grenobloise, ça forcément on pouvait pas y couper. Ensuite les camions sur la nationale, particulièrement difficiles à doubler vu le caractère tortueux de la nationale.

Après le col de la Croix Haute, le pire semblait passer : enfin de belles lignes droites, et, mystérieusement, plus aucun camion. Mais nous n’étions pas au bout de nos (mauvaises…) surprises.

Après quelques dizaines de km de lignes droite, la montagne a fait son retour, sans prévenir et de nuit. Première épingle à droite, non signalée et sans qu’on s’attende à attaquer une montée de col. Grosse frayeur, même à 60 km/h ça passait pas, et les roues ne sont pas passées bien loin du bas côté extérieur… On continue tranquillement la montée, puis on attaque la descente, en évitant de justesse un renard qui passait par là. Après quelques km, voilà enfin le panneau « succession de virages », suivi du panneau « virage dangereux », alors qu’il ne restait que deux petits virages avant d’arriver en bas… Plus loin sur la route, encore un paquet de virages non signalés, ou, au contraire, de virages signalés sans raison valable…

En passant à Escragnolle, Choco appelle un de ses amis, qui par hasard se trouve sur la même route que nous, mais dans l’autre sens. Choco en profite pour changer de voiture au passage.

Finalement, on arrive à Roquefort-les-Pins vers 23h. Bien entendu, on n’arrive pas à trouver la villa dans ce trou du cul du monde escarpé et tortueux. Après quelques recherches infructueuses, on se décide à appeler Yannick. Et paf, pas de réseau bien sûr, ça aurait été trop facile s’il y en avait eu… On monte un peu pour capter le réseau, et là, Yannick nous apprend que tout le monde est à Antibes dans un bar. Guillaume avait essayé de nous prévenir, mais je n’avais pas pu décrocher en conduisant. On repart donc direction Antibes, avec un petit pit-stop dans une station essence, le temps passé à tourner en rond dans Roquefort ayant eu raison des quelques litres de super restant dans le réservoir

C’est finalement vers minuit qu’on arrive à Antibes, sains et saufs, et sans rien avoir cassé. Ouf !

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