Dimanche, malgré le mauvais temps, je suis sorti pour une {{petite}} ballade en vélo avec Lionel, direction Saint-Nizier par la route. La malédiction de la D106 a encore frappé…

Mais pourquoi maudite ? Tout simplement parce que en trois tentatives, je ne suis jamais arrivé jusqu’à Saint-Nizier, alors que j’y suis déjà monté quatre fois via le GR9, pourtant bien plus difficile 😕

Les choses ont commencé très mal dès le début, puisqu’avant même de partir Lionel a dû changer de monture, les freins de son vélo étant plus décoratifs que fonctionnels… Ensuite, à peine la montée attaquée, nous avons eu droit à une bonne averse, qui a fortement entamé ma motivation, car j’ai vite compris que je ne pourrais pas profiter de la descente, récompense des efforts de la montée. Nous avons donc rapidement décidé de n’aller que jusqu’à la Tour sans Venin, que nous avons finalement « ratée » de deux kilomètres en bifurquant vers la descente sur Seyssins.

La descente est plutôt sympa, ni trop rapide ni trop technique, mais par contre, avec les pneus lisses et la pluie, c’était un peu la foire à la glissade au moindre coup de freins, surtout avec les nombreux passages piétons et leur peinture blanche, véritable bête noire du cycliste… Difficile de profiter de la descente dans ces conditions ! J’enviais un peu Lionel et ses pneus mixtes…

Y a plus qu’à refaire la même sur le sec pour voir ce que ça donne, et pourquoi pas jusqu’à Saint-Nizier ? 🙂

Et pendant ce temps là, à Chamrousse, il neige encore 😮

(pas autant que sur la photo quand même, mais bon, mi-juillet c’est pas normal…)