Et tu me le rends bien…
S’il y a bien une chose qui ne change pas de la vie étudiante à la vie professionnelle, c’est la difficulté à remettre le pied à l’étrier après les vacances…
Et pourtant, ce matin, j’étais relativement motivé, malgré le grand beau temps qui donnait bien envie de ne pas aller s’enfermer dans un bureau. À 8h35, j’étais déjà dans la voiture (un bon quart d’heure d’avance sur mon horaire normal…), prêt à affronter une nouvelle journée de travail. C’était sans compter sur les éléments, bien décidés à me compliquer les choses…
A peine sorti du parking, premier écueil : je tombe nez à nez avec une tranchée de 2 mètres et une pelleteuse. Et m**** ! C’est pas que GEG avait oublié de nous prévenir, mais la petite affichette collée sur la porte du parking annonçait une fermeture de l’accès les lundi 28 et mardi 29 août, et forcément, mon cerveau endormi pendant ces trois semaines de vacances n’avait retenu que 28 et 29 août, sans se rendre compte que c’était en fait un mardi et un mercredi, et donc que lundi et mardi pourrait bien se rapporter au 3 et au 4 septembre, d’autant plus que le trou n’était effectivement pas encore rebouché samedi dernier. Bref, me voilà bon pour une petite ballade matinale en vélo. Finalement, ce n’est pas un mal que le traditionnel temps de rentrée ait cédé sa place au Soleil ce matin.
Je remonte chercher le Lapierre, que je préfère au Rockrider pour aller au boulot, et me voilà reparti. Et re-m**** ! Au bout de quelques centaines de mètres, un déraillement me rappelle que j’ai cassé la chaîne vendredi dans les Vouillants et que je n’avais qu’un demi maillon de rechange pour une réparation de fortune, réparation qui n’aura pas tenue bien longtemps. Retournez à la case départ. Ne touchez pas 20 000F.
Là je n’ai plus le choix, ce sera le Rockrider. Et pshiiiiiit ! Je ne fais de nouveau que quelques centaines de mètres avant de pincer sur une montée de trottoir un peu ambitieuse. Je rentre chez moi, maudissant cette satanée rentrée et j’appelle Stéphane, un collègue avec qui je covoiture régulièrement. Bien sûr, ça ne répond pas, et il est déjà trop tard pour la navette Innovallée (la dernière part dans cinq minutes, mais je suis à un bon quart d’heure du point de départ… grrrrr !). J’en suis quitte pour réparer mon pneu et retenter le trajet en vélo.
Heureusement, la quatrième tentative est la bonne, et j’arrive sans encombre au bureau vers 9h15. Ouf ! Le retour sera également sans embuches, quoiqu’un peu venteux. Vivement les prochaines vacances, en octobre si tout va bien 🙂
Quelle poisse mon ptit Matt! Je croise les doigts pour que ça ne m’arrive pas, c’est pas très plat pour aller à mon boulot. A pelushe
bonjopur, j’ai trouvé ce billet fort intéressant 🙂 je me demandais mourquoi cette précision : un bon quart d’heure d’avance sur mon horaire normal …. 😉 je te souhaite une bonnev continuation !