Résumé de l’épisode précédent : après une journée à rien faire jeudi, les candidats ont ramé fort hier, mais l’épreuve n’a pas été suffisante pour laisser entrevoir un vainqueur potentiel. La prod va devoir redoubler d’efforts pour départager les candidats !
Résumé de l’épisode précédent : après une journée à rien faire jeudi, les candidats ont ramé fort hier, mais l’épreuve n’a pas été suffisante pour laisser entrevoir un vainqueur potentiel. La prod va devoir redoubler d’efforts pour départager les candidats !
Réveil matinal pour cette dernière journée avant le départ : il faut se lever tôt pour arriver au gouffre de Padirac avant le rush. Mission accomplie, il ne nous faudra même pas 5 minutes pour obtenir notre ticket d’entrée, et pas plus pour embarquer. Étant tombés sur le même batelier blagueur qu’il y a trois ans, nous avons eu droit au même blagues. Malgré ses tentatives, il n’a réussi à éliminer personne, et nous sommes donc tous remontés à la surface sains et saufs une heure plus tard, avec une petite pensée émue pour la longue file de touristes. En passant devant la boutique de souvenirs, j’intercepte Anne, qui voulait acheter un autocollant Gouffre de Padirac
et le coller en douce sur ma voiture… Non mais ho ! « In tartiflette we trust » et puis c’est tout !
Avant de rentrer, nous faisons un dernier arrêt à Rocamadour : descente du chemin de croix, ballade dans le centre ville, glace et saucissons. Je remonte ensuite le chemin de croix avec Florent pour aller chercher la voiture puis récupérer les filles dans la vallée. Ça n’a pas que des avantages d’être le chauffeur de ces demoiselles…
À Flatou, on retrouve Tarek, tout juste arrivé de Nice. 12h de route aller-retour pour moins de 24h à Flatou, respect !
L’après-midi, glandouille bien méritée, initiation au base-ball par Florent dont j’ai massacré le genou en lui renvoyant une balle… Fallait pas me forcer à jouer :-p
Pour le dernier repas tous ensemble, on mange les restes de la veille et quelques grillades, avant de descendre dans la vallée pour regarder Rocamadour by night. Cette fois-ci, je me laisse conduire par Tarek, mais toujours avec les trois drôles de dames à l’arrière. Le pastis du repas et le punch de Yannick ont eu raison de ma capacité à conduire…
La soirée se termine en musique jusqu’à 5h du matin, mais sans moi, trop fatigué et ayant besoin de repos pour la route du lendemain.